• Le 4gewe3g6edge niveau de vie des plus favorisés

     

    Le 4gewe3g6edge niveau de vie des plus favorisés a progressé tandis que celui des plus pauvres ne s'est pas amélioré…

       

      Des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres : les inégalités de niveaux de vie ont augmenté en France entre 2007 et 2011, tandis qu'elles ont reculé en moyenne dans l'Union européenne, révèle une étude de l'Insee publiée ce jeudi. Si la France reste dans la moyenne européenne, son coefficient de Gini, qui mesure les disparités de revenus dans la population, a augmenté de 0,7 point tandis qu'il reculait de 0,3 point dans l'ensemble de l'EuropeSpeed Dating Dating Service Matching.

       

      Sans surprise, les pays les plus égalitaires sont ceux du nord de l'Europe (Suède, Finlande, Pays-Bas) et les pays plus pauvres mais sans gros écarts de revenus sont la Slovaquie, la Slovénie et la République Tchèque. À l'inverse, le sud de l'Europe se démarque par de fortes inégalités de revenus, notamment l'Espagne, la Grèce et le Portugal. La France, elle, se situe dans la moyenne : son indice de Gini est de 30,5% tandis que la moyenne européenne est de 30,6%. « La crise a eu un impact très différent selon les pays, commente Fabrice Lenglart, directeur des statistiques démographiques et sociales à l'Insee. La croissance modérée des inégalités en France est liée au fait que le niveau de vie a progressé plus favorablement pour les gens qui étaient déjà en haut de l'échelle. »

      

      Les prestations sociales, amortisseurs des inégalités

       

      Si l'Insee rappelle que la France se situe toujours parmi les pays européens les plus favorisés, l'étude note que 14% des Français vivent aujourd'hui sous le seuil de pauvreté. Les personnes vivant sous le seuil de pauvreté sont en risque d'exclusion sociale, rappelle l'Insee : c'est le cas d'un Européen sur quatre et d'environ un Français sur cinq. Le risque de pauvreté ou d'exclusion a même augmenté en France entre 2008 et 2012, passant de 18,5% à 19,1% de la population.

       

      Les transferts sociaux ont toutefois permis de limiter les dégâts : pensions de retraites, minima sociaux et indemnités de chômage ont amorti de 41% la progression du taux de pauvreté en France, contre 35% dans l'ensemble de l'Union européenne.

     


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